Bonjour à tous,
dans la fin de ma 3e décennie, j'enfourche quotidiennement mon fidèle Mercier d'un bon demi-siècle pour rester dérouillé.
J'emprunte ainsi la piste de grand-père breton aux abdos en béton, qui me narrait les histoires de Louison Bobet et Jacques Anquetil, et surtout qui m'a prêté son Peugeot de course pour arpenter la campagne.
Mon 1er achat de vélo (vintage, naturellement) remonte à 2014 à Copenhague où j'ai passé plusieurs mois. De retour à Paris, je suis resté fidèle au modèle de course des années 70-80... Entre acheter une merde moderne à bas-prix ou dépenser 2 mois de salaire dans un vélo hightech susceptible de se faire voler, j'ai vite fait de choisir le bon vieux course d'occase qui peut encore donner des bonnes leçons de vitesse. Le vélo en ville (yep, moi c'est vélotaf, mais vélo pour tout en fait) n'a plus à démontrer son efficacité, donc pour moi un vélo vintage c'est un choix pragmatique et économique, et puis esthétique bien sûr.
Pour ce qui est de la bidouille, en 5 ans de possession, des casses surviennent donc j'ai appris petit à petit, et pour ça je choisis les ateliers d'autoréparation. L'envie de ressusciter les épaves des amis ou de carrément produire des monstres de frankenstein à 2 roues me titille ces derniers temps et je vais sûrement récupérer des pièces pour me lancer.
Hâte de profiter de votre sagesse, et de m'affubler d'une signature aussi truculente que les vôtres.
dans la fin de ma 3e décennie, j'enfourche quotidiennement mon fidèle Mercier d'un bon demi-siècle pour rester dérouillé.
J'emprunte ainsi la piste de grand-père breton aux abdos en béton, qui me narrait les histoires de Louison Bobet et Jacques Anquetil, et surtout qui m'a prêté son Peugeot de course pour arpenter la campagne.
Mon 1er achat de vélo (vintage, naturellement) remonte à 2014 à Copenhague où j'ai passé plusieurs mois. De retour à Paris, je suis resté fidèle au modèle de course des années 70-80... Entre acheter une merde moderne à bas-prix ou dépenser 2 mois de salaire dans un vélo hightech susceptible de se faire voler, j'ai vite fait de choisir le bon vieux course d'occase qui peut encore donner des bonnes leçons de vitesse. Le vélo en ville (yep, moi c'est vélotaf, mais vélo pour tout en fait) n'a plus à démontrer son efficacité, donc pour moi un vélo vintage c'est un choix pragmatique et économique, et puis esthétique bien sûr.
Pour ce qui est de la bidouille, en 5 ans de possession, des casses surviennent donc j'ai appris petit à petit, et pour ça je choisis les ateliers d'autoréparation. L'envie de ressusciter les épaves des amis ou de carrément produire des monstres de frankenstein à 2 roues me titille ces derniers temps et je vais sûrement récupérer des pièces pour me lancer.
Hâte de profiter de votre sagesse, et de m'affubler d'une signature aussi truculente que les vôtres.