Des courageux sont allés saluer nos braves !

Le 11 novembre dernier j'ai profité de mon jour de repos pour finir les travaux de mon appart. D'autres, des courageux, peu nombreux comme toujours dans ces cas là, ont fait 200 km en bicyclettes pour aller saluer les braves de 1914 - 1918.

Je tiens donc à saluer ces courageux qui ont commémorés les braves.



https://www.leparisien.fr/oise-60/200-km-a-velo-pour-commemorer-le-11-novembre-a-compiegne-malgre-tout-11-11-2020-8407861.php?fbclid=IwAR2dEepvYZI-NavhcxUs6I-4wCcAGG-VUTRSmlSvSz2tlvW0mbBa6dfIgsU

Merci à eux de continuer à faire perdurer le souvenir!
Ne jamais oublier, jamais!

PédaleurdeCharme a écrit:Merci à eux de continuer à faire perdurer le souvenir!
Ne jamais oublier, jamais!

en effet!
Je me permets de mettre le lien de l'ouvre d'une vie entière d'un ancien client dont la maman fut infirmière à l'arrière du front.
Il a monté la plus grande collection au monde d'affiches relatives à la 1ere guerre mondiale.
http://www.snrbaudouin.com/boutique/fiche_produit.cfm?ref=remy1&type=33&code_lg=lg_fr

Drôle de monde que de devoir désobéir pour saluer la mémoire des poilus tandis que les hypermarchés se remplissent sans trop se soucier des autres.

En dehors des commémorations, j’ai l’impression que c’est un rituel un peu propre aux cyclistes de s’attarder sur les monuments aux morts. On traverse les campagnes, on s’arrête pour faire une pause casse-croûte, on se sent bien, on se sent vivants et en faisant quelques pas on tombe sur ces noms, ces visages, des hommes arrachés à leurs petits villages.

Peut-être est-ce le fait de les imaginer rouler à bicyclettes sur les mêmes routes avant de partir au front, ce lien entre les générations qui provoque un peu de cela.

Peut être aussi parce qu'on a l'habitude de se ravitailler en eau dans les cimetières.

Il doit y avoir de cela oui.

Oui c'est vrai. Pendant la pause près des fontaines on contemple souvent les cénotaphes.