Depuis quelques année je restaure des vélos trouvés abandonnés sur le trottoir, une benne de chantier,… De ces vélos que l’on pourrait presque laisser en ville sans antivols.
Puis petit à petit
Bizarrerie de cette ensemble d’apparence hétéroclite chaque vélo vient prendre sa place dans une sorte de puzzle : Motobécane bleu mon premier vélo sans petites roues, Spécial CNC vélo prêté par le club pour ma première course sur piste, …
Et puis maintenant une référence à mon chemin croisé avec celui d’Antoine Blondin ami de mon père journaliste pour l’Équipe du Tour de France et auteur d’« Un singe en hiver » (ref. de mon titre « Rose en hiver »)
De mon attirail de vélo Il y a une homogénéité dans l’esprit même si physiquement ils sont tous différent. Leurs utilisations évoluent et l’usure des pièces qu’il faut remplacer changent régulièrement leurs apparences.
Comment j'envisage ce néo-rétro ? garder la conscience et l’esprit collectif de ceux qui l’ont conçu et réalisé, sans faire de modifications irréversibles et ainsi garder la possibilité d’une restauration physique à l’identique.
Dernière édition par Toud le Mar 25 Avr 2023 - 20:57, édité 1 fois