Hérault. Une descente à la mer.

7h30 ce matin, me v'là parti pour aller me baigner dans la Méditerranée, sous une petite pluie idéale en ce mois de juillet.



On descend les collines.



Vers la plaine viticole.



Où les grands domaines témoignent d'une époque de couilles en or, quand la grande muette prenait encore des cuites à la vinasse.



Celui-ci date de la fin du XIXe siècle.
Cette photo montre un petit tiers de la cours agricole.
Le château est dans un parc à part.. bien fermé.

Après avoir traversé la voie ferrée, la route de Narbonne et le Canal du Midi, toujours par les chemins et petites routes de vignes. Un autre domaine moins joli. Fin XXème.



Un peu plus loin nous surplombons l'étang de Vendres.



La mer au loin....

Descente vers le plat, gravelling engagé voire exigeant !
(lol)



Effrayés par la guidoline verte ?





Celui-ci semble l'aimer

Au bord de l'Aude, père et fils en cyclo-camping..



L'embouchure de l'Aude. Enfin, un peu avant...



Ces images peuvent présenter des traces de vélo bleu.

Lagune vers Saint-Pierre la Mer



Le Corbusier.



Et enfin l'eau glacée, le vent et le crachin.

Pour le retour j'ai dû tirer un long bord vent de travers pour ne pas avoir à tout remonter vent dans l'pif.
Ceci m'a rapproché de la civilisation.
Mais pas tout de suite !
Encore le tour de la lagune mais par l'Est.



Un HY qui ne cracherait pas sur un.ptit coup de WD40.



Des mûres très bonnes.



Et retour sur la route direction Béziers



Là-bas j'ai pris le bus pour finir les 30 km qui restaient jusqu'à chez moi.
La banlieue puente m'a achevé...



Mais j'suis très content de mon nouveau vélo !

C'est joli ce coin de l'embouchure de l'Aude, et la petite route qui la longe est bien agréable même avec le vent dans le nez.

Oui. Côté Aude il y plus de Tramontane que côté Hérault, pourtant il n'y a que le fleuve à traverser.
Avantage du vent quand on reste le soir dans le coin, c'est que les moustiques ne volent pas.
Des tigres gros comme le pouce !

...t'as franchement la caisse!!!    
mais le sieur double cagettes ne le sais pas; vous avez franchement la caisse. ça promet de sacrés tours de manivelles pour bientot.
je passe mon tour, rien que de lire ce périple, je saigne du nez.

Bah.. " L'escargot ne recule pas "
Pas vite, on va vite loin, et " qui aime son vélo le pousse ".

Ah les moustiques... Ils ont été la pire difficulté du tour gravel de l'Hérault fait par un copain (Xmachine tu le connais c'est ton voisin du patelin d'à côté). Faut reconnaître qu'il a toujours préféré la montagne au littoraux.

Très chouette compte rendu avec photos
Merci