Avec un peu de retard je le conçois voici mon compte rendu de cette banane à Baden Baden.
Au rendez vous matinal bien entendu le Baron ne pouvait être là pour les raisons que vous savez.
Premier arrivé sur son Motobec flambant Piero4711 (non pas en référence de son braquet le plus court quoi que...)
Suivi de près par Frong, vélocipédophile, brocker, vincentr, nous étions censés retrouver le baron et Ely sur le chemin.
A la tête de la plus grande horde de Gogo jamais vu outre Rhin, galvanisé comme jamais j'entrainais la troupe à toute blinde. Sans vraiment le réaliser j'enquillai un tunnel. Nul besoin d'être moniteur d'auto école pour réaliser que c'était une bêtise. Les klaxons des automobilistes semblaient d'avantage indiquer un mécontentement qu'un signe d'encouragement.
En formation de combat notre chenille entrait donc dans les issues de secours à la recherche d'un raccourci qu'à l'instar de David Vincent nous ne trouvions pas.
Cette ballade dans la ligne Siegfried avait tout de même du charme :
Du charme d'ailleurs il m'en fallut pour convaincre la jeune et jolie policière que :
Mes camarades gogo n'y étaient pour rien car ils me suivaient j'ai donc fait apologize.
C'était par inadvertance que j'avais entrainé cette valeureuse troupe dans un combat perdu d'avance (Maitre Jacques avait prévenu dans les souterrains qu'avec la vidéo on se ferait gauler) j'ai donc fait apologize.
Nous avions tout fait pour sortir par les issues de secours qui étaient fermées et que donc nous étions faits comme des rats pour cela aussi j'ai donc fait apologize.
La partie semblait gagnée au troisième polizei kontrol. La vérité était établie. J'étais le seul coupable et mon erreur était involontaire.
Bien contente de se débarrasser de nous la policière me demandait alors où l'on allait. Bien entendu je n'en savais rien. Cela lui semblait relativement incompréhensible. mais au même moment le Baron par le plus grand des hasards nous retrouve et se pointe à notre niveau. J'expliquai alors à l'équipage intercepteur de Gogo que l'homme providentiel arrivait et que lui seul connaissait la route. Je demandais alors au Baron où l'on allait. Sa réponse fût brève malicieuse et intense : Au bar !...
à suivre