Bonjour.
Ça y est je l'ai !
Et oui, j'ai enfin fait l'acquisition d'un vélo Terrot. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour un Dijonnais, ça veut dire beaucoup !
Avant de me lancer dans sa restauration, je cherche des informations pour voir ce que je vais faire et comment je vais m'y prendre.
Tout d'abord, il se pose la question du modèle et de la datation.
J'ai l'impression qu'il s'agit d'un modèle de la fin des années 50. Le numéro du cadre est le n° 911 024.
Avec les différents détails que j'ai pu repérer, il semble se rapprocher du modèle GTB3 de 1955
https://terrot.eu/images/terrot/catalogues/cycles/Feuillet_Cycles_1955.pdf
1- On y retrouve les tubes Divio
2- Le pédalier et le carter de chaîne semblent coller
3- La potence à l'air de correspondre
4- Les étriers de freins sont conformes à ceux de ces années
5- Et on retrouve les gardes-boue avec le montage un peu bizarre des tringles.
Et c'est là que ça se complique, car pour les vélos femmes de cet époque, il me semble qu'il y a toujours un filet garde-jupe à l'arrière. Or le garde-boue arrière ne présente aucune perforation qui témoignent de cet équipement. De plus les feux sont bien trop récents. C'est très incohérent tout ça...Donc soit, je me plante complètement sur l'identification du vélo, soit les gardes-boue ne sont pas d'origine.
Avez vous une idée au sujet du modèle et de sa datation?
Ensuite je me demande si c'est une bonne idée de passer le cadre en peinture. Je suis tenté de lui faire une peinture époxy pour le protéger pour des années et lui rendre son lustre d'antan. Question sticker, je devrais m'en sortir. Je ne sais juste pas comment on enlève la plaque sur la colonne de direction.
Si vous avez des conseils, des avis... je suis preneur.
Quoiqu'il en soit, j'ai hâte de le restaurer et pourquoi pas d'acquérir un modèle homme. Je me vois déjà au coté de ma chère et tendre épouse, chacun sur sa belle bicyclette, arpentant fièrement les rues Dijonnaises. Nous ne manquerions pas de faire une petit pèlerinage devant les anciennes usines, boulevard Voltaire.
Ça y est je l'ai !
Et oui, j'ai enfin fait l'acquisition d'un vélo Terrot. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour un Dijonnais, ça veut dire beaucoup !
Avant de me lancer dans sa restauration, je cherche des informations pour voir ce que je vais faire et comment je vais m'y prendre.
Tout d'abord, il se pose la question du modèle et de la datation.
J'ai l'impression qu'il s'agit d'un modèle de la fin des années 50. Le numéro du cadre est le n° 911 024.
Avec les différents détails que j'ai pu repérer, il semble se rapprocher du modèle GTB3 de 1955
https://terrot.eu/images/terrot/catalogues/cycles/Feuillet_Cycles_1955.pdf
1- On y retrouve les tubes Divio
2- Le pédalier et le carter de chaîne semblent coller
3- La potence à l'air de correspondre
4- Les étriers de freins sont conformes à ceux de ces années
5- Et on retrouve les gardes-boue avec le montage un peu bizarre des tringles.
Et c'est là que ça se complique, car pour les vélos femmes de cet époque, il me semble qu'il y a toujours un filet garde-jupe à l'arrière. Or le garde-boue arrière ne présente aucune perforation qui témoignent de cet équipement. De plus les feux sont bien trop récents. C'est très incohérent tout ça...Donc soit, je me plante complètement sur l'identification du vélo, soit les gardes-boue ne sont pas d'origine.
Avez vous une idée au sujet du modèle et de sa datation?
Ensuite je me demande si c'est une bonne idée de passer le cadre en peinture. Je suis tenté de lui faire une peinture époxy pour le protéger pour des années et lui rendre son lustre d'antan. Question sticker, je devrais m'en sortir. Je ne sais juste pas comment on enlève la plaque sur la colonne de direction.
Si vous avez des conseils, des avis... je suis preneur.
Quoiqu'il en soit, j'ai hâte de le restaurer et pourquoi pas d'acquérir un modèle homme. Je me vois déjà au coté de ma chère et tendre épouse, chacun sur sa belle bicyclette, arpentant fièrement les rues Dijonnaises. Nous ne manquerions pas de faire une petit pèlerinage devant les anciennes usines, boulevard Voltaire.