Bonsoir à tous,
Ne m'étant pas inscrit pour faire tapisserie, je vous présente le dernier sorti de l'atelier :
Bon, vu comme ça, c'est pas très parlant, comme ça, c'est mieux ? :
Le cadre de cette machine qui fait 64,5 x 62.5 cm est haubanné, ce qui lui confère une rigidité diabolique .
Je l'ai équipée d'un couple TA 46-32 sur manivelles 49D et jeu de pédalier Stronglight d'origine, roue libre Atom 14-17-19-21-24 ; moyeux Maxicar à axe plein (9,5 à l’avant comme à l'arrière), jantes Mavic. Pneus Hutchinson "urban tour" en 700x35.
Eclairage par dynamo Luxor, phare Cibié (le fil passe dans les tubes du rack en tube de huit mm), feu arrière Ulo. Garde-boues Uginox. Selle Idéale à rails acier. Cintre plat dural sur potence Pivo, direction Stronglight compétition d'origine.
Le freinage est un mix de Mafac et de CLB Racer sur tasseaux brasés. Dérailleurs Huret Allvitt d'origine avec passe-vitesses Simplex au guidon, dont les câbles passent dans les supports des poignées guidonnets montées à l’envers. Ça a été un grand moment pour percer et limer tout ça pour ne pas que le câble qui passe à l’intérieur du collier de serrage ne frotte !
Au moins le poste de pilotage est net et rien ne dépasse. Les passe-vitesse, c'est que du bonheur en ville :fleur: .
Les freins "guidonnet" à l'envers, ça se faisait beaucoup sur les guidons plats, il fût un temps.
Ce vélo est de 1966. Il a été construit par les établissements Marceau, rue Paul Vaillant-Couturier au Kremlin-Bicêtre (à l'époque département de la Seine, maintenant dans le Val de Marne). Avec un tel pédigrée, c'est l'idéal pour livrer "l'humanité"
Il faut vous dire que quand je l'ai eu il était monté en randonneuse, mais compte-tenu de sa géométrie, je le trouve beaucoup plus cohérent ainsi. Il est aussi très stable en charge et beaucoup plus agréable à mener dans cette configuration : depuis le temps que je cherchais un porteur sportif à ma taille !
Cerise sur le gâteau (c'était la tradition chez Marceau), le nom de celui qui a fait faire ce vélo est peint sur le cadre : L.BORNE, pour un cycliste, ça ne s’invente pas !
Ne m'étant pas inscrit pour faire tapisserie, je vous présente le dernier sorti de l'atelier :
Bon, vu comme ça, c'est pas très parlant, comme ça, c'est mieux ? :
Le cadre de cette machine qui fait 64,5 x 62.5 cm est haubanné, ce qui lui confère une rigidité diabolique .
Je l'ai équipée d'un couple TA 46-32 sur manivelles 49D et jeu de pédalier Stronglight d'origine, roue libre Atom 14-17-19-21-24 ; moyeux Maxicar à axe plein (9,5 à l’avant comme à l'arrière), jantes Mavic. Pneus Hutchinson "urban tour" en 700x35.
Eclairage par dynamo Luxor, phare Cibié (le fil passe dans les tubes du rack en tube de huit mm), feu arrière Ulo. Garde-boues Uginox. Selle Idéale à rails acier. Cintre plat dural sur potence Pivo, direction Stronglight compétition d'origine.
Le freinage est un mix de Mafac et de CLB Racer sur tasseaux brasés. Dérailleurs Huret Allvitt d'origine avec passe-vitesses Simplex au guidon, dont les câbles passent dans les supports des poignées guidonnets montées à l’envers. Ça a été un grand moment pour percer et limer tout ça pour ne pas que le câble qui passe à l’intérieur du collier de serrage ne frotte !
Au moins le poste de pilotage est net et rien ne dépasse. Les passe-vitesse, c'est que du bonheur en ville :fleur: .
Les freins "guidonnet" à l'envers, ça se faisait beaucoup sur les guidons plats, il fût un temps.
Ce vélo est de 1966. Il a été construit par les établissements Marceau, rue Paul Vaillant-Couturier au Kremlin-Bicêtre (à l'époque département de la Seine, maintenant dans le Val de Marne). Avec un tel pédigrée, c'est l'idéal pour livrer "l'humanité"
Il faut vous dire que quand je l'ai eu il était monté en randonneuse, mais compte-tenu de sa géométrie, je le trouve beaucoup plus cohérent ainsi. Il est aussi très stable en charge et beaucoup plus agréable à mener dans cette configuration : depuis le temps que je cherchais un porteur sportif à ma taille !
Cerise sur le gâteau (c'était la tradition chez Marceau), le nom de celui qui a fait faire ce vélo est peint sur le cadre : L.BORNE, pour un cycliste, ça ne s’invente pas !