Bonjour,
Après avoir visité le forum à plusieurs reprises, j'ai décidé de m'inscrire dans le but de rencontrer des amateurs de matériel vintage, de partager mon expérience et, éventuellement, de participer à des sorties.
Mon nom est Martin, depuis environ 8 ans j'ai commencé à démonter, remonter et personnaliser des vélos, particulièrement intéressé par le matériel de "l'âge d'or des vélos faits main".
De formation, je suis artiste numérique, actuellement en formation en design dans une université des beaux-arts. Mon côté "mécano" m'accompagne depuis mon plus jeune âge, et je l'applique actuellement dans ma profession. Cependant, c'est den bidulant avec les vélos que je l'applique le plus.
Récemment (mai 2021), j'ai déménagé en France, plus précisément à Paris, avec mon partenaire française. Je suis argentin et j'ai grandi à Buenos Aires. Depuis mon arrivée ici, je découvre chaque jour la richesse de la culture cycliste et artisanale française.
Dès que l'on trouve un peu de temps, nous partons en randonnée et nous aimons faire du vélo loin des agglomérations urbaines.
En Argentine, l'artisanat de la bicyclette était principalement le fruit d'immigrants italiens, mais il est aujourd'hui difficile de trouver du bon matériel des années 60, 70 ou même 80. L'industrie de l'époque était principalement orientée vers le cyclisme sportif de compétition, comme en témoignent le matériel euro-asiatique (italien, japonaise, anglais et, en moindre quantité, français) importé et les cadres et pièces fabriqués localement. La faible qualité des vélos destinés à d'autres usages montre qu'il n'y a jamais eu de culture cycliste consolidée en dehors du sport de haut niveau à cette époque-là.
C'est pourquoi je suis très heureux d'arriver ici et de découvrir que je peux enfin donner libre cours à des projets singuliers que j'avais mis de côté en raison d'une certaine frustration liée à ce dernier point.
J'espère avoir l'occasion de rencontrer certains d'entre vous et, pourquoi pas, de participer à des sorties lorsque le temps sera plus clément.
A bientôt,
Martin.
(Je m'excuse des éventuelles erreurs de rédaction. Je suis conscient aussi du fait que mon registre est un peu bizarre, il me manquent encore nombreuses heures de vol pour maîtriser la langue courant).
Après avoir visité le forum à plusieurs reprises, j'ai décidé de m'inscrire dans le but de rencontrer des amateurs de matériel vintage, de partager mon expérience et, éventuellement, de participer à des sorties.
Mon nom est Martin, depuis environ 8 ans j'ai commencé à démonter, remonter et personnaliser des vélos, particulièrement intéressé par le matériel de "l'âge d'or des vélos faits main".
De formation, je suis artiste numérique, actuellement en formation en design dans une université des beaux-arts. Mon côté "mécano" m'accompagne depuis mon plus jeune âge, et je l'applique actuellement dans ma profession. Cependant, c'est den bidulant avec les vélos que je l'applique le plus.
Récemment (mai 2021), j'ai déménagé en France, plus précisément à Paris, avec mon partenaire française. Je suis argentin et j'ai grandi à Buenos Aires. Depuis mon arrivée ici, je découvre chaque jour la richesse de la culture cycliste et artisanale française.
Dès que l'on trouve un peu de temps, nous partons en randonnée et nous aimons faire du vélo loin des agglomérations urbaines.
En Argentine, l'artisanat de la bicyclette était principalement le fruit d'immigrants italiens, mais il est aujourd'hui difficile de trouver du bon matériel des années 60, 70 ou même 80. L'industrie de l'époque était principalement orientée vers le cyclisme sportif de compétition, comme en témoignent le matériel euro-asiatique (italien, japonaise, anglais et, en moindre quantité, français) importé et les cadres et pièces fabriqués localement. La faible qualité des vélos destinés à d'autres usages montre qu'il n'y a jamais eu de culture cycliste consolidée en dehors du sport de haut niveau à cette époque-là.
C'est pourquoi je suis très heureux d'arriver ici et de découvrir que je peux enfin donner libre cours à des projets singuliers que j'avais mis de côté en raison d'une certaine frustration liée à ce dernier point.
J'espère avoir l'occasion de rencontrer certains d'entre vous et, pourquoi pas, de participer à des sorties lorsque le temps sera plus clément.
A bientôt,
Martin.
(Je m'excuse des éventuelles erreurs de rédaction. Je suis conscient aussi du fait que mon registre est un peu bizarre, il me manquent encore nombreuses heures de vol pour maîtriser la langue courant).