Salut les cyclistes !
Nouvel arrivant mais aux cheveux blancs.
Gamin, le vélo était à mes yeux ce qu'il y avait de mieux, comme tant d'autres.
Mon premier fut un Motobécane enfant type MAG garçonnet : du solide ! Tout était mono sur cette bicyclette mais que de balades avec elle. De 30 à plus de 100 bornes dans la journée, j'y allais.
On grandit comme tout un chacun et le vélo se rétrécit. Puis rouler toujours sur le même plateau, sur le même pignon, ça lasse...
Le suivant fut un demi-course Motoconfort : double plateaux et 4 pignons... le bonheur. Toujours les balades de 30 à plus de 100 bornes, mais moins d'effort, plus confortable...
Puis arrive l'âge ingrat... le vélo doit être un deux roues à moteur. Et je saute vite le pas pour la moto que je continue encore aujourd'hui avec mes cheveux blancs. J'y ai même accolé une caisse avec une roue à son côté.
Le vélo ne m'attire plus... je le regarde de loin, de très loin... puis, avec l'âge, la vue baisse, alors je m'en approche pour mieux le voir... le détailler... le contempler... l'admirer.
La finition du cadre, le visserie, les détails des pièces, la matière, le polissage parfois, l'ensemble qui m'émerveille à nouveau comme un gamin... mais je reste dans mon monde : le "vintage", celui qui est mien tant en moto qu'en auto... Les modernités, très peu pour moi.
Un jour, un lot de vélos : un porteur livreur de journaux avec son sac "France-Soir" d'époque, un autre en reynolds 531, un BH de piste tout Campa d'un autre âge (entre les années 50 et 60 d'après moi) et un Atala en Columbus aelle tout Shimano 105 (un bon petit vélo). Mon vendeur était un amateur éclairé et assidu, effectuant le montage de ses vélos.
Les balades ne sont plus les mêmes : ce sont des promenades occasionnelles.
Aujourd'hui, je replonge mais avec un regard différent : envie d'assembler cadre nu et groupe italiens des années 70... Alan d'un côté et Campagnolo Record de l'autre. Un plaisir.
Avec mes salutations...
Nouvel arrivant mais aux cheveux blancs.
Gamin, le vélo était à mes yeux ce qu'il y avait de mieux, comme tant d'autres.
Mon premier fut un Motobécane enfant type MAG garçonnet : du solide ! Tout était mono sur cette bicyclette mais que de balades avec elle. De 30 à plus de 100 bornes dans la journée, j'y allais.
On grandit comme tout un chacun et le vélo se rétrécit. Puis rouler toujours sur le même plateau, sur le même pignon, ça lasse...
Le suivant fut un demi-course Motoconfort : double plateaux et 4 pignons... le bonheur. Toujours les balades de 30 à plus de 100 bornes, mais moins d'effort, plus confortable...
Puis arrive l'âge ingrat... le vélo doit être un deux roues à moteur. Et je saute vite le pas pour la moto que je continue encore aujourd'hui avec mes cheveux blancs. J'y ai même accolé une caisse avec une roue à son côté.
Le vélo ne m'attire plus... je le regarde de loin, de très loin... puis, avec l'âge, la vue baisse, alors je m'en approche pour mieux le voir... le détailler... le contempler... l'admirer.
La finition du cadre, le visserie, les détails des pièces, la matière, le polissage parfois, l'ensemble qui m'émerveille à nouveau comme un gamin... mais je reste dans mon monde : le "vintage", celui qui est mien tant en moto qu'en auto... Les modernités, très peu pour moi.
Un jour, un lot de vélos : un porteur livreur de journaux avec son sac "France-Soir" d'époque, un autre en reynolds 531, un BH de piste tout Campa d'un autre âge (entre les années 50 et 60 d'après moi) et un Atala en Columbus aelle tout Shimano 105 (un bon petit vélo). Mon vendeur était un amateur éclairé et assidu, effectuant le montage de ses vélos.
Les balades ne sont plus les mêmes : ce sont des promenades occasionnelles.
Aujourd'hui, je replonge mais avec un regard différent : envie d'assembler cadre nu et groupe italiens des années 70... Alan d'un côté et Campagnolo Record de l'autre. Un plaisir.
Avec mes salutations...