J'ai rentré cette randonneuse MOTOBECANE
qui si je ne m'abuse doit être une CT 2, les spécialistes confirmeront...
Le positif c'est le triple plateau en alu made in Japan, les jantes aluminium, les étriers de frein WEINMANN vainqueur, les pédales course, les garde-boue inox..
Le moins bien c'est le poids du cadre en tube 2040 "Haute résilience" mot pompeux qui signifie "enclume", les dérailleurs SACHS HURET assez lourds, le guidon certes revêtu du gainage HUTCHINSON mais en acier, alors qu'à l'époque la différence de prix devait être infime. Lequel guidon est d'ailleurs assez (Trop..) étroit.
Ca fait un moment que je l'ai, pensant peut-être utiliser des composants "nobles" pour compléter un autre vélo, mais c'est un peu trop le bazar dans mes réserves, donc je vais le restaurer et le remettre dans le circuit.
Parfois on se demande quels étaient les critères pour assembler un modèle chez MOTOBECANE, qui proposait lors de la décennie précédente des petites solutions techniques intéressantes, et qui là fait preuve d'une certaine incohérence dans l'assemblage de pièces acier et alu.
Je regarde les manettes au cadre et me dis qu'elles sont brasées pour gagner du poids, bin non : elles sont fixées sur un demi-collier lui même enfilé sur une patte soudée sous le tube diagonal. Pourquoi pas une soudure directe ? Même dans le cas très hypothétique ou un cyclo voulait monter des passe-vitesses il y avait encore moyen de bricoler un système pour guider les gaines.
Je vais le nettoyer, monter un ensemble cintre guidon en meilleur état (Le revêtement HUTCHINSON est mort), l'essayer (Quand même), et le revendre, à moins qu'un cadre REYNOLDS 531 en 650 b ne croise mon chemin dans les semaines à venir.0
qui si je ne m'abuse doit être une CT 2, les spécialistes confirmeront...
Le positif c'est le triple plateau en alu made in Japan, les jantes aluminium, les étriers de frein WEINMANN vainqueur, les pédales course, les garde-boue inox..
Le moins bien c'est le poids du cadre en tube 2040 "Haute résilience" mot pompeux qui signifie "enclume", les dérailleurs SACHS HURET assez lourds, le guidon certes revêtu du gainage HUTCHINSON mais en acier, alors qu'à l'époque la différence de prix devait être infime. Lequel guidon est d'ailleurs assez (Trop..) étroit.
Ca fait un moment que je l'ai, pensant peut-être utiliser des composants "nobles" pour compléter un autre vélo, mais c'est un peu trop le bazar dans mes réserves, donc je vais le restaurer et le remettre dans le circuit.
Parfois on se demande quels étaient les critères pour assembler un modèle chez MOTOBECANE, qui proposait lors de la décennie précédente des petites solutions techniques intéressantes, et qui là fait preuve d'une certaine incohérence dans l'assemblage de pièces acier et alu.
Je regarde les manettes au cadre et me dis qu'elles sont brasées pour gagner du poids, bin non : elles sont fixées sur un demi-collier lui même enfilé sur une patte soudée sous le tube diagonal. Pourquoi pas une soudure directe ? Même dans le cas très hypothétique ou un cyclo voulait monter des passe-vitesses il y avait encore moyen de bricoler un système pour guider les gaines.
Je vais le nettoyer, monter un ensemble cintre guidon en meilleur état (Le revêtement HUTCHINSON est mort), l'essayer (Quand même), et le revendre, à moins qu'un cadre REYNOLDS 531 en 650 b ne croise mon chemin dans les semaines à venir.0