Dans les premiers temps, comme beaucoup en ville, j'ai fait le constat que les transports en communs ne m'emmèneraient que trop lentement à mon lieu de travail. Comme beaucoup en ville, je suis allé à Décathlon, j'ai pris le deuxième prix, histoire de, et j'ai commencé à aller au travail avec. Comme beaucoup en ville, j'étais trop confiant avec mon vélo, et j'ai découvert qu'il suffisait d'accrocher son vélo dehors une nuit pour qu'il disparaisse.
À partir de là, j'ai emprunté le vieux biclou de mon voisin de palier. J'ai appris à réparer l'essentiel à l'atelier associatif de la ville, La Rustine à Dijon, et me voilà parti comme sur des roulettes. Quelques mois plus tard, bourse au vélo de l'atelier, je prends un course décathlon, un cobra 650 de souvenir, qui m'accompagnera trois longues années.
Nouvelle bourse aux vélos, même atelier, pour ma copine de l'époque. Pendant qu'elle essaie une jolie bicyclette de ville, je remarque cet étrange course violet anodisé qui trône sur un présentoir, étonné, je demande si je peux l'essayer ? Pourtant sans le besoin, je suis reparti avec, complètement amoureux de la bestiole. Et un peu inconscient de ce que c'était que ce vélo sur le coup. Pour les curieux, c'est un Vitus 992. Sujet à part très prochainement. Celui-ci aussi, ça va faire bientôt trois ans que je l'use. A tel point que j'ai une sérieuse impression qu'il devient de plus en plus chewing-gum, à moins que je ne psychote ?
Et me voilà aujourd'hui, toujours plus amoureux des vélos. À ne pas pouvoir m’empêcher de lorgner les raccords, de m’arrêter quand je constate un sticker Reynolds, du chrome ou de l'acier bien brillant, une vieille selle Idéale, un dérailleur sans plastique... De m'énerver après l'avènement du carbone et des cadres spécifiques électrique qui change fondamentalement l'aspect réparable et intemporel du vélo, alors même qu'on devrait modérer la production... (Je n'irai pas plus loin, ça risquerait de devenir politique)
Et avec une période de chômage programmée de trois mois à venir, j'ai envie de voyager à vélo cet été, mais les contraintes techniques étant plus rude que du vélo de ville, je suis un peu perdu et j'en suis presque à me dire que je vais acheter du neuf... Je me suis dit que ça valait le coup d'essayer le contact avec quelques passionnés, des fois qu'un échange me donne des idées.
Au plaisir d'échanger,
Ange
À partir de là, j'ai emprunté le vieux biclou de mon voisin de palier. J'ai appris à réparer l'essentiel à l'atelier associatif de la ville, La Rustine à Dijon, et me voilà parti comme sur des roulettes. Quelques mois plus tard, bourse au vélo de l'atelier, je prends un course décathlon, un cobra 650 de souvenir, qui m'accompagnera trois longues années.
Nouvelle bourse aux vélos, même atelier, pour ma copine de l'époque. Pendant qu'elle essaie une jolie bicyclette de ville, je remarque cet étrange course violet anodisé qui trône sur un présentoir, étonné, je demande si je peux l'essayer ? Pourtant sans le besoin, je suis reparti avec, complètement amoureux de la bestiole. Et un peu inconscient de ce que c'était que ce vélo sur le coup. Pour les curieux, c'est un Vitus 992. Sujet à part très prochainement. Celui-ci aussi, ça va faire bientôt trois ans que je l'use. A tel point que j'ai une sérieuse impression qu'il devient de plus en plus chewing-gum, à moins que je ne psychote ?
Et me voilà aujourd'hui, toujours plus amoureux des vélos. À ne pas pouvoir m’empêcher de lorgner les raccords, de m’arrêter quand je constate un sticker Reynolds, du chrome ou de l'acier bien brillant, une vieille selle Idéale, un dérailleur sans plastique... De m'énerver après l'avènement du carbone et des cadres spécifiques électrique qui change fondamentalement l'aspect réparable et intemporel du vélo, alors même qu'on devrait modérer la production... (Je n'irai pas plus loin, ça risquerait de devenir politique)
Et avec une période de chômage programmée de trois mois à venir, j'ai envie de voyager à vélo cet été, mais les contraintes techniques étant plus rude que du vélo de ville, je suis un peu perdu et j'en suis presque à me dire que je vais acheter du neuf... Je me suis dit que ça valait le coup d'essayer le contact avec quelques passionnés, des fois qu'un échange me donne des idées.
Au plaisir d'échanger,
Ange