Bonjour à toutes et à tous,
Bastien, 37 ans, j'ai toujours eu pas mal d'affinités avec le vélo, tout d'abord pour aller à l'école (collège, lycée), hors de question de prendre le bus, qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige c'était tous les jours à vélo. Et puis au lycée j'étais en sport-étude cyclisme donc ça occupait une bonne partie de ma vie.
Puis la vie a suivi son cours, j'ai d'abord vécu dans des pays où le vélo n'était clairement pas la solution la plus sécuritaire, puis la nécessité d'arriver "propre" au bureau etc etc, du coup le vélo a été remisé au garage.
Et au final me voilà à Paris, sans voiture depuis quelques temps et c'est avec un immense plaisir que j'ai lâché l'option métro pour la remplacer par le vélotaf. Mes anciens vélos de compét n'étant pas les plus adaptés (confort, praticité) j'ai piqué le vieux Peugeot de mon père et j'en suis absolument satisfait pour mes trajets quotidiens ! (Je ferai une petite prés' du vélo et je solliciterai les spécialistes pour le dater )
Au plaisir d'échanger avec vous,
Bastien
Bastien, 37 ans, j'ai toujours eu pas mal d'affinités avec le vélo, tout d'abord pour aller à l'école (collège, lycée), hors de question de prendre le bus, qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige c'était tous les jours à vélo. Et puis au lycée j'étais en sport-étude cyclisme donc ça occupait une bonne partie de ma vie.
Puis la vie a suivi son cours, j'ai d'abord vécu dans des pays où le vélo n'était clairement pas la solution la plus sécuritaire, puis la nécessité d'arriver "propre" au bureau etc etc, du coup le vélo a été remisé au garage.
Et au final me voilà à Paris, sans voiture depuis quelques temps et c'est avec un immense plaisir que j'ai lâché l'option métro pour la remplacer par le vélotaf. Mes anciens vélos de compét n'étant pas les plus adaptés (confort, praticité) j'ai piqué le vieux Peugeot de mon père et j'en suis absolument satisfait pour mes trajets quotidiens ! (Je ferai une petite prés' du vélo et je solliciterai les spécialistes pour le dater )
Au plaisir d'échanger avec vous,
Bastien