Toutes mes excuses pour ne pas avoir commencé par me présenter ! J'étais tellement heureux de découvrir votre site de passionnés (et quelques experts de Mercier roses) que j'ai négligé mes obligations de nouveau venu !
Je m'appelle donc Greg, mais quelques bonnes vibrations ne pouvant faire de mal, on dira Goodvibe.
En vacances, sur les routes de Provence et de Corse, mais surtout à Paris, j'ai toujours chevauché des vélos de courses. Lycéen, j'avais un joli Motobécane acheté à la Samaritaine avec mon père. Je l'ai utilisé quotidiennement pendant des années jusqu'à sa disparition nocturne dans une rue du 6ème arrondissement. Le même jour, mon paternel avait acheté un joli Lejeune orange que j'ai toujours et que j'avais remis en service il y a quelques années (photos à suivre prochainement). Un vélo que j'adore pour les souvenirs qu'il m'évoque, mais aussi par sa robustesse qui me fait oublier son poids. Il me sert à présent de "second vélo". Parti faire des études aux USA dans les années 90, c'est un Schwin bleu ultra-léger qui m'a servi de monture dans les rues de Manhattan. Acheté pour une poignée de dollars dans Harlem dans un état quasi-neuf....Après avoir fait mes classes à Paris, je m'amusais à rivaliser (sans trop de difficultés malgré l'état du macadam!) avec les fameux coursiers new yorkais, bluffés de me voir capable de les suivre. Je ne suis pas un fin connaisseur de cycles, mais je crois avoir une bonne expérience de conduite de vélo "vintage" (comme on dit maintenant) en milieu urbain. Pas de fixie ou single speed pour moi, j'aime jouer du changement de vitesse sur cadre pour garder la cadence.
Aujourd'hui producteur audiovisuel et réalisateur, j'ai eu la surprise d'apercevoir le vélo d'un ami réalisateur qui m'a replongé dans mes souvenirs de gamins. Un sublime Mercier rose comme celui des pros qui tournaient à Vincennes ou ceux qu'on voyait gravir les cols des environs de Manosque ou de Corte ! Et là, me voilà littéralement obsédé par l'idée de m'en trouver un ! Et finalement sur LBC, l'illumination. UN Mercier pas trop cher, bien tristounet mais visiblement réparable... Rendez-vous est pris avec une charmante dame à la gare de Rouen. Echange express dans le hall de la gare et je repars avec mon achat par le train suivant...Argh me dis-je, il va y avoir du boulot !
Impossible de comparer ce Mercier qui est devenu le mien avec celui de mon pote, le sien étant une perle rare, "fait main", fourche gravée, nom d'un coureur sur le cadre, etc. Mais n'empêche...je suis bien content et fier de chevaucher le mien. Il est trés propre , assez léger pour moi et fait plus que le job au quotidien tout en récoltant les commentaires flatteurs des amateurs sur le chemin.
Je suis donc ravi de vous rejoindre et de pouvoir échanger impressions, infos, anecdotes avec vous !
Merci
GOODVIBE
Je m'appelle donc Greg, mais quelques bonnes vibrations ne pouvant faire de mal, on dira Goodvibe.
En vacances, sur les routes de Provence et de Corse, mais surtout à Paris, j'ai toujours chevauché des vélos de courses. Lycéen, j'avais un joli Motobécane acheté à la Samaritaine avec mon père. Je l'ai utilisé quotidiennement pendant des années jusqu'à sa disparition nocturne dans une rue du 6ème arrondissement. Le même jour, mon paternel avait acheté un joli Lejeune orange que j'ai toujours et que j'avais remis en service il y a quelques années (photos à suivre prochainement). Un vélo que j'adore pour les souvenirs qu'il m'évoque, mais aussi par sa robustesse qui me fait oublier son poids. Il me sert à présent de "second vélo". Parti faire des études aux USA dans les années 90, c'est un Schwin bleu ultra-léger qui m'a servi de monture dans les rues de Manhattan. Acheté pour une poignée de dollars dans Harlem dans un état quasi-neuf....Après avoir fait mes classes à Paris, je m'amusais à rivaliser (sans trop de difficultés malgré l'état du macadam!) avec les fameux coursiers new yorkais, bluffés de me voir capable de les suivre. Je ne suis pas un fin connaisseur de cycles, mais je crois avoir une bonne expérience de conduite de vélo "vintage" (comme on dit maintenant) en milieu urbain. Pas de fixie ou single speed pour moi, j'aime jouer du changement de vitesse sur cadre pour garder la cadence.
Aujourd'hui producteur audiovisuel et réalisateur, j'ai eu la surprise d'apercevoir le vélo d'un ami réalisateur qui m'a replongé dans mes souvenirs de gamins. Un sublime Mercier rose comme celui des pros qui tournaient à Vincennes ou ceux qu'on voyait gravir les cols des environs de Manosque ou de Corte ! Et là, me voilà littéralement obsédé par l'idée de m'en trouver un ! Et finalement sur LBC, l'illumination. UN Mercier pas trop cher, bien tristounet mais visiblement réparable... Rendez-vous est pris avec une charmante dame à la gare de Rouen. Echange express dans le hall de la gare et je repars avec mon achat par le train suivant...Argh me dis-je, il va y avoir du boulot !
Impossible de comparer ce Mercier qui est devenu le mien avec celui de mon pote, le sien étant une perle rare, "fait main", fourche gravée, nom d'un coureur sur le cadre, etc. Mais n'empêche...je suis bien content et fier de chevaucher le mien. Il est trés propre , assez léger pour moi et fait plus que le job au quotidien tout en récoltant les commentaires flatteurs des amateurs sur le chemin.
Je suis donc ravi de vous rejoindre et de pouvoir échanger impressions, infos, anecdotes avec vous !
Merci
GOODVIBE