Eté, 2016, pendant les congés, je prends le train pour Paris, puis le train de nuit pour Narbonne. La première journée passera par une voie (verte?) au bord de l'eau, il fait beau, ça sent la résine de pin à plein nez. Je rejoint la côte, un camping bondé aux douches froides.
Le lendemain, je suis la côte, j'ai prévu emprunter "la route des cols", je passe une zone de "Marina", de côte "urbanisée, ou la foule s’agglutine. Je suis paumé, bien sûr je n'ai pas de carte puisque la "route des cols" en question est balisée. Ceci dit, c'est comme ça que je fait des rencontres. Je croise un cycliste, il me dirige vers une voie cyclable, je commence à monter en cherchant un camping dans plusieurs villages. Le lendemain, je passe à Prats de Mollo, je redescends ensuite sur Amélie les Bains ou s'arrête la voie cyclable mentionnée auparavant. Je prends (enfin) la bonne direction et commence à suivre le balisage de la "route des cols".
La route des cols des Pyrénées est magnifique, mais certaines portions sont prévues pour les voitures et pas pour les vélos. A Olette, un cycliste (encore un), me voit regarder ma carte et me conseil une route vers Ayguatébia-Talau. Je monte jusqu'au col de Jouelle, puis demi tour. Au village, une fontaine, un commerçant ambulant, les clients sympas, le soleil qui descend. Beaucoup moins de voitures, un paysage magnifique sous le soleil, deux cols passés dans la journée, et un camping en pleine forêt pour finir. J'y laisse mon gaz et ma gamelle, du volume et du poids impossible à boire quand on a très soif ou a manger quand on a très faim. Je suis en VTT avec deux sacoches, c'est bien mais quand même lourd.
En montant vers le col de Jouelle à Ayguatébia.
En descendant vers Quillan.
Je descends pendant 2h45, vers Quillan. Le paysage change. Plus tard, j'arrive à Espezel, il y a un tout petit camping, très propre, pas cher, des restos sympas, un troupeau de vaches avec cloches qui passe matin et soir devant le camping.
La route continue, avec plus ou moins de photos, les batteries de mon appareil et de mon téléphone portable ayant tendance à se vider trop rapidement à mon goût.
Je n'ai pas passé tous les cols de la fameuse "route". Mais déjà une bonne quinzaine, ce qui n'est pas si mal et offre un disversité de paysage. Mon coup de coeur, le passage entre le Soulor et l'Aubisque (de homard).
Je me suis arrêté à Arette, attardé à Tardet, profité encore de quelques changements de paysages avant de ressentir l'implacable mélancolie du temps qui passe et nous dit que le train ne va pas nous attendre. Un belle journée avant d'arriver à Saint Jean Pied de Port ou la fête Basque bat son plein.
Je rejoint la côte en train, Je pars de Hendaye vers Paris juste après la fête Basque d'Hendaye avec le défilé....
J'ai oublié de vous parler des vaches, des moutons, d'une cycliste qui m'a envoyé vers les Hourquettes d'Ancizan (sublime), de Bagnères de Luchon, d'une crevaison, de Tarascon sur Arièges, de l'eau pour remplir le bidon qui descend directement de la montagne, du fait que les campings ne sont pas très couteux au final, du fait qu'il a presque fait beau tout le temps. Je n'ai pas fait l'Aspin ni le Tourmalet, je compte bien y retourner.
Le lendemain, je suis la côte, j'ai prévu emprunter "la route des cols", je passe une zone de "Marina", de côte "urbanisée, ou la foule s’agglutine. Je suis paumé, bien sûr je n'ai pas de carte puisque la "route des cols" en question est balisée. Ceci dit, c'est comme ça que je fait des rencontres. Je croise un cycliste, il me dirige vers une voie cyclable, je commence à monter en cherchant un camping dans plusieurs villages. Le lendemain, je passe à Prats de Mollo, je redescends ensuite sur Amélie les Bains ou s'arrête la voie cyclable mentionnée auparavant. Je prends (enfin) la bonne direction et commence à suivre le balisage de la "route des cols".
La route des cols des Pyrénées est magnifique, mais certaines portions sont prévues pour les voitures et pas pour les vélos. A Olette, un cycliste (encore un), me voit regarder ma carte et me conseil une route vers Ayguatébia-Talau. Je monte jusqu'au col de Jouelle, puis demi tour. Au village, une fontaine, un commerçant ambulant, les clients sympas, le soleil qui descend. Beaucoup moins de voitures, un paysage magnifique sous le soleil, deux cols passés dans la journée, et un camping en pleine forêt pour finir. J'y laisse mon gaz et ma gamelle, du volume et du poids impossible à boire quand on a très soif ou a manger quand on a très faim. Je suis en VTT avec deux sacoches, c'est bien mais quand même lourd.
En montant vers le col de Jouelle à Ayguatébia.
En descendant vers Quillan.
Je descends pendant 2h45, vers Quillan. Le paysage change. Plus tard, j'arrive à Espezel, il y a un tout petit camping, très propre, pas cher, des restos sympas, un troupeau de vaches avec cloches qui passe matin et soir devant le camping.
La route continue, avec plus ou moins de photos, les batteries de mon appareil et de mon téléphone portable ayant tendance à se vider trop rapidement à mon goût.
Je n'ai pas passé tous les cols de la fameuse "route". Mais déjà une bonne quinzaine, ce qui n'est pas si mal et offre un disversité de paysage. Mon coup de coeur, le passage entre le Soulor et l'Aubisque (de homard).
Je me suis arrêté à Arette, attardé à Tardet, profité encore de quelques changements de paysages avant de ressentir l'implacable mélancolie du temps qui passe et nous dit que le train ne va pas nous attendre. Un belle journée avant d'arriver à Saint Jean Pied de Port ou la fête Basque bat son plein.
Je rejoint la côte en train, Je pars de Hendaye vers Paris juste après la fête Basque d'Hendaye avec le défilé....
J'ai oublié de vous parler des vaches, des moutons, d'une cycliste qui m'a envoyé vers les Hourquettes d'Ancizan (sublime), de Bagnères de Luchon, d'une crevaison, de Tarascon sur Arièges, de l'eau pour remplir le bidon qui descend directement de la montagne, du fait que les campings ne sont pas très couteux au final, du fait qu'il a presque fait beau tout le temps. Je n'ai pas fait l'Aspin ni le Tourmalet, je compte bien y retourner.