« Je me présente.
Mon prénom est Laurent et j’habite en Suisse (Genève). Pas besoin d’avancer les clichés sur les Helvètes, je suis hors catégorie !
Adolescent, je suis tombé dedans. Le cyclisme, bien entendu. C’était suite au Tour de l’Avenir 1981 passé en trombe dans ma région.
Des années de compétition d’abord. Puis des années d’étude. Alors loin de mon club, je suis sorti de la route. Ce n’était pas plus mal. Le vélo est une machine qui vous happe et ne vous lâche plus. Heureusement qu’un événement marquant m’a donné la réflexion pour coller à une destinée qui m’échappait.
Maintenant, en mettant la pédale douce, je suis remonté en selle. Je roule en solitaire mais jamais seul. J’ai un vélo avec un cadre carbone tout monté par mes soins. Inutile de dire combien j’ai fait des économies. C’est mon porte-monnaie tout de même !
Mais on revient toujours à son premier amour. Les tubes aciers m’aimantent, la manette de dérailleurs sur le cadre… fichtre ! On maîtrisait à l’époque. Je sens encore la forme des manettes Simplex entre mes doigts.
Bref. L’idée s’impose, Dieu voulant : dénicher un vieux coursier, et modestement le nettoyer pour lui donner un nouveau départ. Taille 53 ou 530 comme annonçait les fabricants (maintenant ils nos parlent de S, M, L). Pas très loin, il me semble qu’il y en un
Grâce aux aficionados de vélo-vintage-à-gogo (un nom à faire Bordeaux-Paris), je serai heureux sur ce nouveau vieux biclou grâce eux. Un peu plus ».
A plus, Laurent.
En image, le vélo d'Eddy Merckx dans une exposition à Bruxelles en 2019.
Mon prénom est Laurent et j’habite en Suisse (Genève). Pas besoin d’avancer les clichés sur les Helvètes, je suis hors catégorie !
Adolescent, je suis tombé dedans. Le cyclisme, bien entendu. C’était suite au Tour de l’Avenir 1981 passé en trombe dans ma région.
Des années de compétition d’abord. Puis des années d’étude. Alors loin de mon club, je suis sorti de la route. Ce n’était pas plus mal. Le vélo est une machine qui vous happe et ne vous lâche plus. Heureusement qu’un événement marquant m’a donné la réflexion pour coller à une destinée qui m’échappait.
Maintenant, en mettant la pédale douce, je suis remonté en selle. Je roule en solitaire mais jamais seul. J’ai un vélo avec un cadre carbone tout monté par mes soins. Inutile de dire combien j’ai fait des économies. C’est mon porte-monnaie tout de même !
Mais on revient toujours à son premier amour. Les tubes aciers m’aimantent, la manette de dérailleurs sur le cadre… fichtre ! On maîtrisait à l’époque. Je sens encore la forme des manettes Simplex entre mes doigts.
Bref. L’idée s’impose, Dieu voulant : dénicher un vieux coursier, et modestement le nettoyer pour lui donner un nouveau départ. Taille 53 ou 530 comme annonçait les fabricants (maintenant ils nos parlent de S, M, L). Pas très loin, il me semble qu’il y en un
Grâce aux aficionados de vélo-vintage-à-gogo (un nom à faire Bordeaux-Paris), je serai heureux sur ce nouveau vieux biclou grâce eux. Un peu plus ».
A plus, Laurent.
En image, le vélo d'Eddy Merckx dans une exposition à Bruxelles en 2019.