Bonjour,
Aujourd’hui je vous présente mon petit dernier : il s’agit d’un Peugeot PH8 M de 1983.
http://bikeboompeugeot.com/Brochures%20France/Peugeot%201983%20France%20Brochure/Peugeot_1983_French_Brochure_Page11_BikeBoomPeugeot.JPG
Contrairement à certains de mes vélos qui attendent patiemment que je m’en occupe, j’ai tout de suite pris celui-ci en main, tellement il y avait peu de choses à faire. C’était plus de l’ordre de l’entretien que de la restauration. Le cadre est impeccable.
J’ai toutefois eu 2 mauvaises surprises que je n’avais pas du tout identifié au premier abord.
1- Quand j’ai enlevé le ruban de cintre en tissus, j’ai constaté avec surprise que le cintre était attaqué par la rouille. C’était tout à fait imperceptible avant d’enlever le ruban. On était au-delà des petites piqûres qui partent à la laine d’acier, des gros points de rouille étaient présents avec de belles boursouflures. Rien de rédhibitoire, mais pas joli joli… J’ai passé le tout à la laine d’acier. Il est ressorti pas mal, mais reste encore bien marqué. J’ai mis un nouveau ruban en tissu dessus sans traitement en attendant des conseils.
Est-ce que je le laisse comme ça, ou il faut lui faire un traitement pour arrêter le rouille, si oui lequel ?
A noter que le plongeur de la potence était également bien attaqué par la rouille, mais là, rien de bien problématique.
2- Quand j’ai démonté le dérailleur avant, je me suis rendu compte qu’il était cassé au niveau de la bague de fixation. En effet celle-ci a une moitié en métal et l’autre en plastique. En parcourant le forum, j’ai cru comprendre que c’était courant sur ce genre de modèle. J’aurai tendance à dire qu’il ne faut pas être ingénieur pour se dire qu’en fabriquant un système de bague pareil avec une moitié en plastique en l’autre en métal, il y aurait un certain déséquilibre et que la partie en plastique aurait de grande chance de souffrir. Ça n’est que l’avis d’un type qui n’est pas ingénieur et qui n’y connaît pas grand-chose en propriété mécanique des matériaux…, donc je dis peut être là ne grosse connerie. En revanche, quand on voit la qualité du dérailleur Sachs-Huret tout métal que j’ai mis à la place, là, ingénieur ou pas, la différence de qualité saute aux yeux ! En plus, il traînait au fond d’une caisse depuis 2-3 ans, tout graisseux, tout moche, et après un rapide nettoyage (et un ongle retourné... ) il est ressorti tout beau, tout brillant.
Pour le reste je crois qu’il n’y a pas grand-chose à dire sur ce joli vélo.
Quelques caractéristiques :
Aujourd’hui je vous présente mon petit dernier : il s’agit d’un Peugeot PH8 M de 1983.
http://bikeboompeugeot.com/Brochures%20France/Peugeot%201983%20France%20Brochure/Peugeot_1983_French_Brochure_Page11_BikeBoomPeugeot.JPG
Contrairement à certains de mes vélos qui attendent patiemment que je m’en occupe, j’ai tout de suite pris celui-ci en main, tellement il y avait peu de choses à faire. C’était plus de l’ordre de l’entretien que de la restauration. Le cadre est impeccable.
J’ai toutefois eu 2 mauvaises surprises que je n’avais pas du tout identifié au premier abord.
1- Quand j’ai enlevé le ruban de cintre en tissus, j’ai constaté avec surprise que le cintre était attaqué par la rouille. C’était tout à fait imperceptible avant d’enlever le ruban. On était au-delà des petites piqûres qui partent à la laine d’acier, des gros points de rouille étaient présents avec de belles boursouflures. Rien de rédhibitoire, mais pas joli joli… J’ai passé le tout à la laine d’acier. Il est ressorti pas mal, mais reste encore bien marqué. J’ai mis un nouveau ruban en tissu dessus sans traitement en attendant des conseils.
Est-ce que je le laisse comme ça, ou il faut lui faire un traitement pour arrêter le rouille, si oui lequel ?
A noter que le plongeur de la potence était également bien attaqué par la rouille, mais là, rien de bien problématique.
2- Quand j’ai démonté le dérailleur avant, je me suis rendu compte qu’il était cassé au niveau de la bague de fixation. En effet celle-ci a une moitié en métal et l’autre en plastique. En parcourant le forum, j’ai cru comprendre que c’était courant sur ce genre de modèle. J’aurai tendance à dire qu’il ne faut pas être ingénieur pour se dire qu’en fabriquant un système de bague pareil avec une moitié en plastique en l’autre en métal, il y aurait un certain déséquilibre et que la partie en plastique aurait de grande chance de souffrir. Ça n’est que l’avis d’un type qui n’est pas ingénieur et qui n’y connaît pas grand-chose en propriété mécanique des matériaux…, donc je dis peut être là ne grosse connerie. En revanche, quand on voit la qualité du dérailleur Sachs-Huret tout métal que j’ai mis à la place, là, ingénieur ou pas, la différence de qualité saute aux yeux ! En plus, il traînait au fond d’une caisse depuis 2-3 ans, tout graisseux, tout moche, et après un rapide nettoyage (et un ongle retourné... ) il est ressorti tout beau, tout brillant.
Pour le reste je crois qu’il n’y a pas grand-chose à dire sur ce joli vélo.
Quelques caractéristiques :
- PH8M – n° 2988415 – taille 57 – couleur or
- Cadre tubes spécial carbolite 103 by Peugeot(n° B 305 98[127])
- Transmission : 10 vitesses, commandes avec leviers sur le cadre.
- Dérailleur arrière Simplex 5 vitesses
- Dérailleur avant Simplex remplacé par un Sachs Huret.
- Pédalier acier 42 x 52
- Roues 700 C Rigida chromage Superchromix (datées de 83)
- Moyeux Maillard, datés « 20 83 »
- Potence Atax
- Frein estampillés Peugeot à tirage latéral .
- Leviers de frein Weinmann
- Éclairage avant Soubitez et arrière Cibie, dynamo
- Garde-boue Av./Ar. Inox
- Porte bagage arrière chromé
- Selle Peugeot