Je vous présente ce vélo de ville sur lequel je me suis amusé. Il s'agit d'un Peugeot PH45 M taille 50 dont le numéro de cadre est Y204 05862. Il ne vaut pas grand chose, mais ça m'a permis de me donner un p'tit défis : le refaire sans rien acheter (si ce ne sont les consommables : pneus, chambre à air, gaines et câbles).
J'ai eu ce vélo dans un triste état : couvert de mousse, grippé de partout et pas vraiment au complet.
L'idée m'est venue de m'y attaquer quand j'ai refais le vélo d'une amie et que je me suis rendu comte que son vélo et mon épave étaient en fait à peu près les mêmes modèles avec 10 ans d'écart.
Ce vélo m'a vraiment fait suer au sens propre du terme.
Ça a commencé avec le pédalier et ses maudites clavettes. J'ai commencé par la gauche, et tout c'est déroulé parfaitement. Je suis donc passé ensuite de l'autre côté, très confiant, d'autant plus que ce côté avait bénéficié de 15 min de dégrippant en plus. Et là, la clavette ne bougeait pas d'un iota. Après trois jours de dégrippant, des centaines de petits coups de marteau et un malheureux coup de sang avec un arrache rotule de chez Norauto qui ma permis de plier la clavette, j'ai sorti la disqueuse. Et hop, adieu le pédalier !
Ça c'est ensuite poursuivi avec la potence : pas moyen de la sortir. Après quelques heures d'énervement 2 paires de gants et 500 litres de dégrippant j'ai dû jouer de la Dremel pour la découper et réussir à l'extirper. At hop, adieu la potence !
J'ai dû casser la moitié des vis dont les boulons étaient rouillés.
Après, place au un grand nettoyage... ou plutôt un grand démoussage. J'ai fait le tri dans les pièces encore en état et j'ai été farfouiller dans mon petit stock. Et voila le résultat ! C'est pas fantastique, mais ça a permis de redonner vie à un vélo qui était voué à la casse. Et rien que ça, ça me remplie de joie.
J'ai eu ce vélo dans un triste état : couvert de mousse, grippé de partout et pas vraiment au complet.
L'idée m'est venue de m'y attaquer quand j'ai refais le vélo d'une amie et que je me suis rendu comte que son vélo et mon épave étaient en fait à peu près les mêmes modèles avec 10 ans d'écart.
Ce vélo m'a vraiment fait suer au sens propre du terme.
Ça a commencé avec le pédalier et ses maudites clavettes. J'ai commencé par la gauche, et tout c'est déroulé parfaitement. Je suis donc passé ensuite de l'autre côté, très confiant, d'autant plus que ce côté avait bénéficié de 15 min de dégrippant en plus. Et là, la clavette ne bougeait pas d'un iota. Après trois jours de dégrippant, des centaines de petits coups de marteau et un malheureux coup de sang avec un arrache rotule de chez Norauto qui ma permis de plier la clavette, j'ai sorti la disqueuse. Et hop, adieu le pédalier !
Ça c'est ensuite poursuivi avec la potence : pas moyen de la sortir. Après quelques heures d'énervement 2 paires de gants et 500 litres de dégrippant j'ai dû jouer de la Dremel pour la découper et réussir à l'extirper. At hop, adieu la potence !
J'ai dû casser la moitié des vis dont les boulons étaient rouillés.
Après, place au un grand nettoyage... ou plutôt un grand démoussage. J'ai fait le tri dans les pièces encore en état et j'ai été farfouiller dans mon petit stock. Et voila le résultat ! C'est pas fantastique, mais ça a permis de redonner vie à un vélo qui était voué à la casse. Et rien que ça, ça me remplie de joie.