Comme s’il était possible, j’aurais encore quelques questions sur la peinture à la bombe faite maison...
J’ai lu pas mal d’échanges à ce sujet sur ce forum, notamment autour des post de Diggs, et on y retrouve pratiquement tout ce qu’il faut savoir. Je me suis maintenant lancé dans le décapage et peinture d’un Mercier ‘68, qui avait été repeint en jaune sur son rose violine/violet d’origine, afin de lui restituer son aspect original.
Après un début de décapage à la brosse métallique, je suis vite passé au disque abrasif sur perceuse et dremel, bien plus pratiques et moins agressifs, à condition de bien choisir le grain. Avec des grains entre 320 et 600 on y arrive bien. Où je me suis peut-être trompé c’est que je n’ai pas arrêté à un rendu mat, mais j’ai fait briller un peu trop l’acier, d’où ma premier question: est-ce grave ? Ou bien l’apprêt accrochera quand même ?
La deuxième question concerne le nettoyage du cadre avant apprêt. J’ai laissé l’acier nu trop longtemps et des traces de rouille en surface ont commencé à apparaître. Là je suis bon pour un passage au papier verre 600 à nouveau, puis dégraissage et nettoyage. J’ai lu sur des post ici qu’il vaut mieux traiter ensuite à l’acide phosphorique afin de bloquer encore plus l’apparition de la rouille, malgré l’utilisation d’un apprêt anti-rouille. Chez Spray.bike (que j’ai décidé de tester au lieu des bombes 2k, pour lesquelles je ne suis pas assez équipé) ils préconisent en revanche ce qu’ils appellent un « alcool médical pur ». Est-ce que quelqu’un saurait me dire quelle est la meilleure solution entre les deux et si l’acide phosphorique est compatible avec l’apprêt Spray.bike ?
Merci.
JBJ