Peut-être vous en rappelez-vous, mais Seb faisait apparaître dans les bons plans l’annonce de cette randonneuse à peine celle-ci parue.
Puis, Piero indiquait qu’il était mieux qu’elle soit éloignée et perdue au fin fond de la Nièvre. Mais à l’heure du déjeuner Denis proposait de faire un détour pour aller la chercher si quelqu’un était intéressé… Frob quant à lui la dénigrait à cause de son phare et Piero restait toujours fort face à la tentation de Denis. Enfin Naeco passait son tour du fait de la taille.
Je n’ai rien vu de ces échanges mais l’annonce était bien ressortie sur la page de LBC lorsque j’ai consulté le site. Et là, je l’ai reconnue ! En effet, j’avais déjà vu cette randonneuse dans son garage. C’est André qui en était propriétaire, le même André à qui j’avais acheté la Follis orange.
Connaissant le bonhomme, l’entretien de ses vélos, la certitude qu’elle était à ma taille ; je me suis empressé de l’appeler pour l’acheter ! Rendez-vous fut pris pour l’enlèvement.
Avant de parler de son état et de sa rénovation, voici quelques informations sur la vie de ce vélo. Il fut monté en 2010 pour remplacer une autre Follis dont la carrière s’est arrêtée sur le coffre d’une voiture à Limoges suite à une erreur d’inattention d’André.
Avec cette Berthoud, André a pas mal roulé et a également réalisé le Tour de France de l’US Métro.
Arrivée à ma maison, je l’ai démontée intégralement (hormis la dynamo sous base). Le cadre était en parfait état.
Comme à mon habitude, j’ai tout nettoyé et ai changé les consommables.
J’adore les petits détails tel ce picot pour tenir la pompe ajouté aux tubes reynolds 631 :
Les freins MAFAC GT ne sont pas de trop pour freiner cette adepte des longues distances :
Monté en Campagnolo 3*9, le moyeu arrière est superbe mais discret niveau sonore :
Les bandes de freinage étaient tellement creusées que les jantes étaient bonnes à jeter. J’avais en stock deux jantes NOS sur lesquels ont été montés les moyeux dont le Maxicar à l’avant :
Enfin les accessoires tels la selle Brooks, la tige pour tenir la sacoche Berthoud avant et la sonnette posée sur la potence Philippe sont un régal :
Et voici la monture dans son ensemble :
Puis, Piero indiquait qu’il était mieux qu’elle soit éloignée et perdue au fin fond de la Nièvre. Mais à l’heure du déjeuner Denis proposait de faire un détour pour aller la chercher si quelqu’un était intéressé… Frob quant à lui la dénigrait à cause de son phare et Piero restait toujours fort face à la tentation de Denis. Enfin Naeco passait son tour du fait de la taille.
Je n’ai rien vu de ces échanges mais l’annonce était bien ressortie sur la page de LBC lorsque j’ai consulté le site. Et là, je l’ai reconnue ! En effet, j’avais déjà vu cette randonneuse dans son garage. C’est André qui en était propriétaire, le même André à qui j’avais acheté la Follis orange.
Connaissant le bonhomme, l’entretien de ses vélos, la certitude qu’elle était à ma taille ; je me suis empressé de l’appeler pour l’acheter ! Rendez-vous fut pris pour l’enlèvement.
Avant de parler de son état et de sa rénovation, voici quelques informations sur la vie de ce vélo. Il fut monté en 2010 pour remplacer une autre Follis dont la carrière s’est arrêtée sur le coffre d’une voiture à Limoges suite à une erreur d’inattention d’André.
Avec cette Berthoud, André a pas mal roulé et a également réalisé le Tour de France de l’US Métro.
Arrivée à ma maison, je l’ai démontée intégralement (hormis la dynamo sous base). Le cadre était en parfait état.
Comme à mon habitude, j’ai tout nettoyé et ai changé les consommables.
J’adore les petits détails tel ce picot pour tenir la pompe ajouté aux tubes reynolds 631 :
Les freins MAFAC GT ne sont pas de trop pour freiner cette adepte des longues distances :
Monté en Campagnolo 3*9, le moyeu arrière est superbe mais discret niveau sonore :
Les bandes de freinage étaient tellement creusées que les jantes étaient bonnes à jeter. J’avais en stock deux jantes NOS sur lesquels ont été montés les moyeux dont le Maxicar à l’avant :
Enfin les accessoires tels la selle Brooks, la tige pour tenir la sacoche Berthoud avant et la sonnette posée sur la potence Philippe sont un régal :
Et voici la monture dans son ensemble :