Bon voila la banane est terminée avec un super beau temps
Participants
Patrick et Claudette (les organisateurs et porteur de notre beau maillot)
Zébulon (Bruno)
Clamar (Claude)
Le Daron (Philippe)
Seb! (Sébastien)
départ à 9h00 de chez moi 65 kms et 500 de D+
La Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie est une église gothique des XIIᵉ et XIIIᵉ siècles
Le vieux pont de Limay, qui enjambe un bras de la Seine, le bras de Limay, et relie la ville de Limay (Yvelines) à l'île aux Dames, est l'un des plus anciens ponts de France. Le plus vieux document faisant mention d'un pont entre Mantes et Limay est une charte de 1050. Presque totalement détruit en 1162, il sera reconstruit en 1172. L'arche ogivale du XIIe siècle est la dernière trace de cette époque.
Le pont, qui comptait onze arches, a été partiellement détruit en 1940 lorsque le génie militaire français fit sauter deux arches centrales, qui n'ont pas été reconstruites, pour retarder l'avance de l'armée allemande. C'est le dernier vestige d'un ancien pont de 37 arches, qui reliait Mantes-la-Jolie à Limay en trois parties, daté au moins du milieu du XIe siècle.
Nous nous dirigeons vers Dennemont – St Martin la Garenne - Vétheuil
Ou nous entrons dans le sujet de notre Banane le Vexin
1ere montée il manque Seb!
Problème mécanique pour Seb! qui doit abandonner la sortie
Le Daron en bon samaritain est parti voir ce qui se passait
Avec sa 1ere difficulté de Vienne en Arthies qui nous emmène jusqu’au village de Villers en Arthies avec son Château édifié au point le plus élevé du village et date du début du XVIIe siècle.
Mes compagnons de route peuvent souffler un peu jusqu’au domaine de Vilarceaux
L'histoire du château d'en bas débuterait vers le XIe ou XIIe siècle avec un petit châtelet en bois, à proximité duquel le roi Louis VII fait ériger un prieuré bénédictin de femmes. La seigneurie de Villarceaux apparaît au siècle suivant. Le châtelet d'origine laisse la place à un véritable château fort au XVe siècle, le domaine étant intégré à la ligne de défense des frontières du royaume pendant la guerre de Cent Ans.
Le château est agrandi durant la Renaissance, période durant laquelle le domaine devient une vaste propriété agricole et une résidence de plaisir. Les jardins sont redessinés selon le goût de l'époque, avec un goût moins austère influencé par l'Italie.
Puis nous nous dirigeons vers Bray et Lu :
Petit détour au moulin de Fourges
Construit en 1790 sur les ruines d’un précédent moulin, le Moulin de Fourges est l’un des plus élégants de la vallée. Les compagnons de l’époque s’inspirent du hameau de la Reine Marie Antoinette de Versailles pour dessiner son architecture. Pendant quelques décennies, il broie consciencieusement les grains qu’on lui confie. Mais il ne résiste pas à l’ère industrielle et à la mécanisation des grands moulins.
Vient alors le temps de l’oubli jusqu’à l’année 1946 où un jeune homme, charmé par la beauté du lieu, le rachète et le transforme en auberge
Nous continuons vers GASNY en empruntant la voie verte pour traverser l’Epte
Puis nous rejoignons la Roche Guyon en évitant la grande montée mais en la contournant pour enfin arriver au niveau du carrefour de la route des crêtes avec cette vue sur relief du Vexin Français
Enfin nous arrivons dans un dès plus beau village
La Roche-Guyon… Un village qui porte bien son nom ! Uniquement formé d’habitations troglodytiques à ses origines au IVème S, il s’identifie également par sa forteresse médiévale, édifiée sur la « Roche de Gui », du nom des propriétaires qui s’y succédèrent du XIIème au XVème S. Le long des « charrières » menant jusqu’aux crêtes, les « boves » sont toujours pour partie occupées, transformées aujourd’hui en remises, en ateliers d’art ou en commerces. Du château originel ne subsiste que le donjon, relié au château actuel par un impressionnant passage secret de plus de 100 mètres
Le château du moyen-âge, celui du haut dont la tour, haute à l’origine de 38 mètres, tourne vers la route des Crêtes son éperon, présente aujourd’hui un ensemble assez hétérogène.
Outre le donjon, le château médiéval possédait, au pied de la falaise, une muraille encadrée de deux portes dont le système de défense est encore visible dans la tour ouest et d’importantes structures troglodytiques : magasins, salles d’armes, escaliers
Le château de la Renaissance, celui d’en bas. Adossée depuis le Moyen-Age à la falaise de craie, cette ancienne forteresse s'est métamorphosée au fil des siècles.
Surplombant le village de La Roche-Guyon, construit dans un méandre de la Seine à la frontière de la Normandie, le château appartient depuis le XIIe siècle à la famille dès La Rochefoucauld.
Entièrement reconstruit, agrandi et embelli au XVIIIe siècle. Les Silly donnèrent de l’ampleur au château en ouvrant de nouvelles fenêtres sur la façade sud du corps de logis et en créant notamment les terrasses soutenues par les arcades visibles dans la cour des écuries.
Célèbre pour son histoire, le général Rommel y avait établi ses quartiers au cours de la seconde Guerre Mondiale.
Maintenant un peu de plat
VETHEUIL
Parmi les hôtes illustres qui séjournèrent à Vétheuil, le plus célèbre d’entre eux est sans doute Claude Monet. Il s’installa à Vétheuil en 1878 et y vécut plusieurs années avec sa famille. Son épouse décédée à 32 ans repose dans l’ancien cimetière.
Durant son séjour à Vétheuil, Claude Monet peignit plus d’une centaine de toiles représentant le village, la Seine et l’église, peintures que l’on peut voir dans les musées du monde entier. La maison qu’il habita, est située à la sortie du village, sur la route allant à La Roche Guyon.
Nous changeons de rive via le Bac pour traverser la Seine (avec port du masque obligatoire
ROSNY sur Seine
Au XVIe siècle, Rosny, propriété des Melun, passe par mariage, à la maison de Béthune : où naquit Sully, ministre d'Henri IV, en 1559 ; ce dernier, conseiller du roi Henri IV, qui fut aussi surintendant des finances, fit construire le château actuel.
On a donné aux ormeaux que fit planter Sully, marquis de Rosny, en bordure des routes, le nom de rosny, « Sully fit entourer d’ormes les cimetières des campagnes et ces ormes plus tard furent appelés de son nom des rosnys par la reconnaissance du peuple ».
Le 14 mars 1590, après la bataille d'Ivry, le roi de France Henri IV se rend au château de Rosny où il fait un souper en public et, rompant avec l'étiquette, il admit à l'honneur de sa table les généraux qui avaient combattu à ses côtés.
En mars 1814, après le retour de Napoléon, le château de Rosny fut incendié.
Château de Rosny28, 29 : construit, en brique et pierre calcaire, par Maximilien de Béthune, duc de Sully, à la fin du XVIe siècle, ce château connut diverses vicissitudes au cours des XIXe et XXe siècles. Il fut classé monument historique en 1941. Acquis en 1984 par une société japonaise, la Nippon Sangyoo Kabushiki Kaisha, il a été largement dépouillé de son mobilier et a subi diverses dégradations, dont un incendie en janvier 1997. Des travaux de conservation pris en charge par le ministère de la Culture et de la Communication ont été entrepris alors d'office, après mise en demeure du propriétaire défaillant.
Et enfin retour sur Mantes
Pour une collation bien mérité Même si Seb! a abandonné il n'a pas manqué d'être avec nous