C'est un trois tubes donc les bases et les haubans sont dans un acier ordinaire. Si c'est fendu, je pense que ça peut se ressouder au MIG.
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Liberia doré début 1979
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Re: Liberia doré début 1979
frob- Rouleur
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Re: Liberia doré début 1979
PINAULT Patrick- Equipe Technique
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Re: Liberia doré début 1979
Olivier,
Prend les dimensions de tes stickers avec une photo et envois chez Allstickers (tu auras peut être pas l'effet gaufré du bleu) mais sait on jamais
Prend les dimensions de tes stickers avec une photo et envois chez Allstickers (tu auras peut être pas l'effet gaufré du bleu) mais sait on jamais
frob- Rouleur
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Re: Liberia doré début 1979
Mais le gaufré, c'est ça qui fait tout le charme ! ;D AllStickers a depuis peu l'ensemble qui était appliqué à peine quelques mois plus tard, toujours en 79 et qui est joli aussi. Juste le soleil et ses rayons. Autant prendre ça du coup. Je vais quand même tenter l'essence F, des fois que ...PINAULT Patrick a écrit:Olivier,
Prend les dimensions de tes stickers avec une photo et envois chez Allstickers (tu auras peut être pas l'effet gaufré du bleu) mais sait on jamais
J'avais un doute sur l'origine de la fourche. Puis je me suis souvenu de cette annonce. C'est vraiment le même vélo en double plateau, avec cette même fourche.
frob- Rouleur
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Re: Liberia doré début 1979
La jolie tige de selle italienne a un "petit" défaut. Un des mâchoires aborde une déchirure. <ö>
Suis un peu abasourdi. Comment ai-je pu passer à coté de cette crique au moment du démontage, ayant regardé les pièces sous toutes les coutures ? J'en viens à me demander si elle ne s'est pas développée toute seule dans son coin après que la contrainte du serrage ait disparu. Qui sait ?
La remplaçante sera cette plus franchouillardement correcte Simplex "SX 1500", presque period correct, qui a bien vécue aussi.
Je dois devenir un peu moins con, car j'ai vérifié qu'elle convenait au cadre/serrage avant de tenter de lui rendre une beauté pendant des heures. Les traces résiduelles qu'on aperçoit ne sont pas des taches ou des marques de corrosion. Vu leur emplacement et leur résistance têtue à toute tentative de réduction, je soupçonne qu'il s'agit de marques de stress, le matériau ayant souffert à ces endroits. Souffert à quel point ? Mystère.
Vous connaissez le phénomène de "cascading crack bifuraction events" ? (pas trouvé de traduction en français, désolé). C'est fa-sci-nant ! L'équivalent en matériaux de la cascade de dominos de taille croissants. J'espère que celle-ci ne m'explosera pas sous le postérieur. On gardera un oeil sur l'évolution de ces traces à l'usage et sur l'imc du cycliste ;E
J'en profite pour signaler que je fais cadeau des pièces restantes de la TdS Concor ci-dessus (au système de serrage vraiment sympa... dommage).
frob- Rouleur
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- Message n°31
Re: Liberia doré début 1979
Sinon, le logo frontal a fini par se décoller. L'essence F n'a rien donné de probant. Par contre, quand on maintient un film de white spirit atour pendant quelques jours, c'est le vernis sur lequel il est collé qui finit par céder et ça vient tout seul.
On a aussi pu inspecter méticuleusement la crique potentielle dans la base. Selon l'expert, c'est sain. Mais quand il a vu l'état de l'ensemble, il a néanmoins conseillé de faire un bilan sérieux de l'état de surface à nu. Il se pourrait qu'il y ait une réelle usure/fatigue des tubes.
En attendant de trouver un carton d'envoi à l'émailleur (chose plus dure que de trouver un SLJ à prix humain), phosphatage-rustolage de l'intérieur des tubes. Les haubans ne sont percés que d'un seul trou d'évacuation... sur le haut ! Mais quelle idée ! Quelle galère pour ressortir la solution acide. Déjà, ça ne fait plus maracas.
On a aussi pu inspecter méticuleusement la crique potentielle dans la base. Selon l'expert, c'est sain. Mais quand il a vu l'état de l'ensemble, il a néanmoins conseillé de faire un bilan sérieux de l'état de surface à nu. Il se pourrait qu'il y ait une réelle usure/fatigue des tubes.
En attendant de trouver un carton d'envoi à l'émailleur (chose plus dure que de trouver un SLJ à prix humain), phosphatage-rustolage de l'intérieur des tubes. Les haubans ne sont percés que d'un seul trou d'évacuation... sur le haut ! Mais quelle idée ! Quelle galère pour ressortir la solution acide. Déjà, ça ne fait plus maracas.