Emilpoe
Ah oui je peux l'entendre.
Non pas une monture révisée et rééquipée chaque jour par un coureur ou son mécano dans une quête d'optimisation du rendement sous une condition climatique donnée, mais plus un ensemble cohérent entre fiabilité, versatilité, et prévoyance aux intempéries et aux imprévus.
Je veux dire l'un dans l'autre tu le paies bien quelque part.
Ce n'est pas un foudre de guerre, c'est un compagnon d'aventure.
Mais sans comparaison et sans chiffrage, sans pesée même dirais-je.
Est ce que tu crois vraiment que tu sentirais ton vélo moins roulant qu'un autre au sommet d'un col après tes 12h de bitume ?
Sincèrement moi j'ai du mal à y croire.
T'as passé ta journée dessus, si tu sais pas qu'il fait 10 ou 12... quelle différence ?
Faut se pousser à la limite pour le déceler peut être, de l'ultracyclisme.
C'est davantage un conditionnement psychologique auquel tu vas souscrire parce que tu as entrepris une démarche comparative ou clairement quand je vois ta dernière oeuvre, d'optimisation.
Et je ne dédirais pas de cette quête, regarde ce que tu accomplis grâce à cela, c'est juste formidable.
Comme le relève Prosperjunior, je ne suis pas en train de cracher sur les avancées technologiques, sur les qualités indéniables de certaines géométries ou de certains alliages, sur l'art et l'histoire des grands équipementiers du cyclisme, des noms gages de qualité, mais je suis un peu d'avis que le poids ne fait pas tout.
Que le ressenti, l'affect également, une part d'animisme même...
Bref, pour un compagnon d'aventure au long cours, j'aurais pas forcément les mêmes exigences qu'un coureur.
C'était juste ma pensée derrière cette question sur l'importance du poids.
Ah oui je peux l'entendre.
Non pas une monture révisée et rééquipée chaque jour par un coureur ou son mécano dans une quête d'optimisation du rendement sous une condition climatique donnée, mais plus un ensemble cohérent entre fiabilité, versatilité, et prévoyance aux intempéries et aux imprévus.
Je veux dire l'un dans l'autre tu le paies bien quelque part.
Ce n'est pas un foudre de guerre, c'est un compagnon d'aventure.
Mais sans comparaison et sans chiffrage, sans pesée même dirais-je.
Est ce que tu crois vraiment que tu sentirais ton vélo moins roulant qu'un autre au sommet d'un col après tes 12h de bitume ?
Sincèrement moi j'ai du mal à y croire.
T'as passé ta journée dessus, si tu sais pas qu'il fait 10 ou 12... quelle différence ?
Faut se pousser à la limite pour le déceler peut être, de l'ultracyclisme.
C'est davantage un conditionnement psychologique auquel tu vas souscrire parce que tu as entrepris une démarche comparative ou clairement quand je vois ta dernière oeuvre, d'optimisation.
Et je ne dédirais pas de cette quête, regarde ce que tu accomplis grâce à cela, c'est juste formidable.
Comme le relève Prosperjunior, je ne suis pas en train de cracher sur les avancées technologiques, sur les qualités indéniables de certaines géométries ou de certains alliages, sur l'art et l'histoire des grands équipementiers du cyclisme, des noms gages de qualité, mais je suis un peu d'avis que le poids ne fait pas tout.
Que le ressenti, l'affect également, une part d'animisme même...
Bref, pour un compagnon d'aventure au long cours, j'aurais pas forcément les mêmes exigences qu'un coureur.
C'était juste ma pensée derrière cette question sur l'importance du poids.