Salut les gogos,
Hier j'allais sur Béziers depuis Paris – j'avais déjà fait la route jusqu'à Clermont-Ferrand pour le festival du court-métrage, pour aller chercher un kit cadre d'une randonneuse Jean Valero tout en 531 pro. L'ensemble étant parfaitement à ma taille, et vu la qualité de la machine, vous pouvez imaginer mon engouement ! Pour éviter que le voyage me revienne à trop cher, j'ai donc pris le TER de Clermont jusqu'à Béziers, avec ce fameux changement à Neussargues, une ancienne gare à bétail, on y acheminait surtout les vaches pour le pâturage estival. Me voilà arrivé à Neussargues au beau milieu de nulle part, quand le chef de gare arrive timidement sur le quai et ose à peine pousser d'une voix tremblante que les personnes en direction de Béziers veuilles bien le suivre, que le train est supprimé. J'avais pris un hôtel, quoique j'y fasse les trains arrivaient trop tard pour l'aller retour en une journée. Et le vendeur qui s'était arrangé avec son travail pour m'apporter la bête au sortir du train. On rentre dans la gare, le chef nous annonce un bus de substitution avec un horaire tout à fait incertain, et il y a ce train qui repart dans l'autre sens et retourne à Clermont-Ferrand. J'ai paniqué – m'imaginant arriver vers minuit à Béziers pour dormir dans un mauvais hôtel sans mon kit que le bonhomme ne serait pas venu m'apporter si tard (il l'aurait très probablement fait), et je suis reparti dans l'autre sens, tout penaud.
Nous voilà donc le lendemain, mon kit toujours à côté de Béziers, ma restauration et mes randonnées futures elles aussi.
Si toutefois un gogo serait disponible vers Béziers pour faire la causette avec le vendeur pas très loquace par téléphone, et empaqueter promptement le kit ce serait fort urbain. (Service rétribué à sa juste valeur bien entendu)
Autrement, je crois que je vais prendre un aller retour direct en TGV. Sur des horaires étrange et à l'avance c'est à peine plus cher qu'une livraison.
Hier j'allais sur Béziers depuis Paris – j'avais déjà fait la route jusqu'à Clermont-Ferrand pour le festival du court-métrage, pour aller chercher un kit cadre d'une randonneuse Jean Valero tout en 531 pro. L'ensemble étant parfaitement à ma taille, et vu la qualité de la machine, vous pouvez imaginer mon engouement ! Pour éviter que le voyage me revienne à trop cher, j'ai donc pris le TER de Clermont jusqu'à Béziers, avec ce fameux changement à Neussargues, une ancienne gare à bétail, on y acheminait surtout les vaches pour le pâturage estival. Me voilà arrivé à Neussargues au beau milieu de nulle part, quand le chef de gare arrive timidement sur le quai et ose à peine pousser d'une voix tremblante que les personnes en direction de Béziers veuilles bien le suivre, que le train est supprimé. J'avais pris un hôtel, quoique j'y fasse les trains arrivaient trop tard pour l'aller retour en une journée. Et le vendeur qui s'était arrangé avec son travail pour m'apporter la bête au sortir du train. On rentre dans la gare, le chef nous annonce un bus de substitution avec un horaire tout à fait incertain, et il y a ce train qui repart dans l'autre sens et retourne à Clermont-Ferrand. J'ai paniqué – m'imaginant arriver vers minuit à Béziers pour dormir dans un mauvais hôtel sans mon kit que le bonhomme ne serait pas venu m'apporter si tard (il l'aurait très probablement fait), et je suis reparti dans l'autre sens, tout penaud.
Nous voilà donc le lendemain, mon kit toujours à côté de Béziers, ma restauration et mes randonnées futures elles aussi.
Si toutefois un gogo serait disponible vers Béziers pour faire la causette avec le vendeur pas très loquace par téléphone, et empaqueter promptement le kit ce serait fort urbain. (Service rétribué à sa juste valeur bien entendu)
Autrement, je crois que je vais prendre un aller retour direct en TGV. Sur des horaires étrange et à l'avance c'est à peine plus cher qu'une livraison.
Dernière édition par cacarbone le Mar 20 Fév - 22:34, édité 2 fois